ÒNous Ztions deux pour vivre joyeux Nos premiers aveux. Toi, tu me
soutenais, lorsque timide. Je ne savais que dire ^ mes tendres
sylphides.Ó JZr(TM)me Aviron a la fra"cheur des jeunes auteurs, dont les
mots sont empreints dÕune mZlancolie et dÕune sagesse tendres et
personnellesÉ Au fil de ces Òpattes de mouchesÓ, comme il se plait ^ les
appeler, ces textes sont un itinZraire intime, qui invite ^ la
rZflexion, et dont la poZsie nous enivre dÕune le?on de vie !